Attention : le billet qui va suivre contient vraisemblablement des termes choquants, violents, et probablement injurieux, surtout si vous êtes un petite pédale susceptible. Vous direz pas qu'on vous aura pas prévenu
Je n'ai pas de blog. Je n'ai jamais écrit de critiques, déjà parce qu'elles ne seraient probablement lues que par deux pelés et trois tondus, ensuite parce que l'avis des gens m'en touche une sans faire bouger l'autre et que j'ai tendance à penser que ça marche dans les deux sens.
Mais là, il fallait le faire.
C'est pourquoi j'ai demandé à notre bon navet national de ressusciter ce champ de légumes des tréfonds des limbes de la blogosphère pour crier, que dis-je, hurler mes sentiments à toute la planète.
Et la victi le sujet du jour est Bravely Default : Where the fairy flies, sorti en Europe fin 2013.
Chroniques d'un joueur blessé.
Si vous cherchez du charisme, j'espère que vous avez du temps
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